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Ahly - Raja Casablanca: Les arbitres...''hommes du match''

En ce week-end de la Ligue des champions de la CAF, l'arbitrage africain ne s'est pas fait la meilleure des publicités. En effet, après le non-déploiement de la VAR, lors du match entre l’Entente sportive de Sétif et l’Espérance sportive de Tunis, la rencontre entre Al Ahly et le Raja Casablanca, hier au Caire, a été marquée par une grossière erreur d’arbitrage et ce, malgré l’utilisation de cette technologie.

L’arbitre congolais de ce match, Jean-Jacques Ndala a accordé un penalty aux locaux, après que le ballon ait touché un défenseur marocain, suite à un centre de Hussein El Shahat. Le ralenti montre clairement que le ballon a touché le tibia du joueur du Raja, mais la salle de la VAR a confirmé la décision de l’arbitre central. Al Ahly a donc bénéficié d’un penalty inexistant pour ouvrir la marque par l’intermédiaire de Amr Sulaya.

L’arbitre de la VAR, qui était derrière cette décision controversée, n’est autre que l’Algérien, Mehdi Abid Charef, triste héros de la fameuse finale aller de la Ligue des champions 2018 entre Al Ahly et l’Espérance sportive de Tunis. Rappelons que cet arbitre avait accordé deux penalties imaginaires au club cairote, malgré le recours à la VAR.

Quant au réalisateur de la rencontre, l’Egyptien Mohamed Nasr, accusé d’avoir montré un seul angle trompeur à l’arbitre central, il est, également, dans la tourmente.

Le Raja a contesté cette injustice à sa manière, en désignant sur son compte Twitter Jean-Jacques Ndala, Mehdi Abid et Mohamed Nasr, hommes de ce match.

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